Je
n’ai jamais été attirée par les hommes asiatiques. Je les ai toujours trouvés
trop féminins, avec un manque criant de sex-appeal et des fesses sans le
moindre arrondi. Enlacée à mon motard qui n’avait rien du bûcheron canadien ou
du gondolier vénitien, je m’étais soudain laissée aller à glisser une main entre
ses jambes, à l’intérieur de son pantalon. Celui-ci, tout en restant concentré
sur la route, s’était mis aussitôt à bander – pas sûr qu’un bûcheron canadien
ou un gondolier vénitien puissent bander aussi dur ! J’ai masturbé mon
moto-taxi entre Bo Phut et Mae Nam. Il a joui à 110 km/h. C’était en pleine
ligne droite, sur la route numéro 4169.
(extrait de la nouvelle La retraite en Thaïlande tirée du recueil Thaïlande guili-guili de Cyril Namiech, à paraître en janvier 2013 aux éditions Gope)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire